Salam
Daoud Khan alors qu'il était invité par Léonid Brejnev à Moscou à l'épqoue des soviétique avait claqué la porte en criant sur ce dernier, Léonid Brejnev voulait imposer son dictat à l'Afghanistan et Daoud lui avait fait remarqué que l'Afghanistan était un pays indépendant et libre et qui mene sa politique selon ces propres intérets.
A l'époque il fallait vraiment avoir du courage pour le faire et Daoud a finalement très cher payé son comportement, les communistes afghans ont été manipulé pour commettre leur coup d'etat et assassiné Daoud quelques temps après.
Hier en écoutant Bashardouste l'annecdote de Daoud Khan avec Léonid Brejnev m'est revenu à l'esprit.
Il y a trois jours lorsque cette histoire de freude a commencé à se faire entendre partout, Richard Holbrooke le reprsentant directe d'Obama pour l'Afghanistan s'est rendu à Kaboul, il s'est installé dans une zone très sécurisé et il convoqua les principaux condidats à son bureau en commençant par Kharzei, ce dernier à pris ces clique et ces claque et s'est rendu au chevet du maître; l'entretiens fini c'est abdullah abdullah qui fait la queue à l'entrée pour rencontrer le décideur.
Arriva le tour de Bashardouste et ce dernier n'était pas encore arrivé, le représentant de Richard Holbrooke lui passa un coup de téléphone pour savoir où il se trouvait, Bashardouste lui a répondu qu'il se trouvait dans la tente qu'il avait installé dans un parc de Kaboul et qu'il ne pourrai se rendre à l'entretient, et il avait fini la conversation en disant qu'en Afghanistan lorsque quelqu'un souhaite rencontrer une personne, c'est à lui de se déplacer et non pas au premier de venir voir le deuxième, donc si Richard Holbrooke souhaite me rencontrer il sait où se trouve ma tente.
Un vrai Afghan notre Bashardouste.