wassalam
Si nos gestes sont guidés par l'envie de satisfaire la volonté divine.. ce n'est pas si compliqué au contraire. On perçoit le monde différemment, et le bien que l'on peut y apporter aussi petit soit- il, plus facilement.
Cela dit, pour parvenir à ce stade il faut travailler sa foi sans relâche.. l'endurance est une prescription, personne n'a jamais dit que c'était sensé être facile. On est naturellement plus enclein à écouter nos propres désirs dans le cas contraire (sans endurance). Ce qui aboutit souvent à une vision plus étroite du monde.. on est plus préoccupé par ses propres besoins parfois mis au banc des priorités. Besoin que l'on se crée parfois nous même pour palier justement à un manque... la spiritualité lorsqu'elle est insuffisante ou manquante, celle visant à établir l'équilibre dont on nécessite. Le corps à sa nourriture...l'âme à sa nourriture. Au final, le fait même de faire le bien que tu énonce ici comme une possible difficulté ou une "simple condition", procure une satisfaction, donc une bonne chose pour soi... et je ne parle pas ici de flatter son égo.. mais de satisfaction sincère, un sentiment de quiétude , vis à vis d'Allah qui nous observe. Un sentiment temporaire évidemment.. comme toute satisfaction. On ne peut que Le craindre pour avoir choisir la droiture..
En réalité tout est bien fait.. tout est pensé.. il suffit juste de vouloir le voir, l'accepter.