« Jamais je n’avais coutume de me plaindre de l’adversité ou d’être troublé par les nombreux soucis qui m’assaillaient jusqu’au jour où je me trouvai sans chaussures et sans argent pour en acheter. C’est ainsi que j’entrai dans la mosquée de Kûfa pour apaiser la douleur de mon cœur par la prière. Je vis un homme qui n’avait pas de pieds. Alors, je rendis grâce à Dieu et acceptai mon propre sort avec patience. »