Bismi-Llâh wa Al Hamduli-Llâh wa Salât wa Salâm ‘ala Rassuli-Llâh,
As'Salâmu Alaykum wa Rahmatu-Llâhi wa Barakâtahu,
J'avais déjà vu les interventions de Georges2012 (à moins que je confonde avec quelqu'un d'autre, d'un forum fréquenté par des pseudo-apostats de l'islam, même s'il y en avait qui étaient réellement ce qu'ils prétendaient).
Pour votre gouverne (islamophobe), les écrits de Anne-Marie Delcambre (au passage très malhonnête, agressive et intolérante, qui ne sont pas des qualités...vous devez bien l'admettre) mélangent constamment le vrai au faux, ses "exégèses" ne sont que des opinions personnelles, assez éloignées de la réalité par ailleurs.
Laissez un étudiant dans les sciences-islamiques étudié durant 6 mois dans une madrassa traditionnelle, et vous verrez qu'il balayera facilement les allégations de Anne-Marie Delcambre, qui à part s'exciter dans le vent, ne propose rien de très constructif.
Maintenant, et pour en revenir au sujet initial du fil, voici quelques recommandations :
Sur la femme en Islâm : Les ouvrages de Asma Lamrabet sont tout simplement excellents.
Sur la jurisprudence : Les ouvrages de Abû Hamîd Al-Ghazâlî et le "matn" de Ibn Ashir (traité de fiqh selon l'école malikite).
Sur la spiritualité et le tasawwuf : "Sagesse céleste" et "Lettre ouverte à ceux qui critiquent le soufisme" de Ahmad Alawî (rah) ainsi que les ouvrages de Ibn Atâ'Allâh Al Iskandarî (rah).
Sinon, et de façon générale, les ouvrages de René Guénon, de Charles-André Gilis, de Martin Lings, de Julius Evola, de Titus Burckhardt, de Ananda Kentish Coomaraswamy, de An-Nawawî, As-Suyûtî, de Sayyed Qutb, de Malek Bennabi (grand penseur que j'affectionne beaucoup), Muhammad Iqbal, Ahmad Kutty, Tareq Oubrou (du moins son livre "Loi d'Allah, loi des hommes"), Muhammad Shaltût, Tariq Ramadan (en dehors de ses positions politiques), etc.
Pour les sciences modernes : Bruno (Abdelhaqq) Guiderdoni, Mario Beauregard, Olivier Rey, Jean-Jacques Charbonier, Michael Denton, Isabelle Stengers, Ervin Lazlo, Jean Staune et Jacques Vauthier.
Voilà "dans un premier temps".