Salam
La haine de l'islam pousse certains a été plus ridicule que jamais, Calude Guéant le ministre de l'intérieur est un très bon exemple, chaque jour qu'il se réveille, il balance une idée plus stupide que l'idée pondu la veille, voilà ce qu'il vient de raconter aujourd'hui aux médias, il a vraiment perdu la tête ce monsieur et il se crois vraiment en 45, bientôt il va finir par nous demander à nous identifier par un crois lorsqu'on marche dans la rue.
Interrogé ce jeudi matin au sujet du débat sur la laïcité et l'Islam que l'UMP organisera le 5 avril prochain, Claude Guéant a estimé que la législation actuelle imposait aux usagers des services publics français de ne « pas porter de signes religieux » et leur interdisait de « manifester une quelconque préférence religieuse ». Le ministre de l'Intérieur estime ainsi que les obligations faites aux agents de l'Etat s'appliquent également aux citoyens usagers du service public.
« Par exemple, on sait qu'à l'hôpital il y a un certain nombre de personnes qui refusent, pour des femmes, des soins prodigués par des hommes. Eh bien, ce n'est pas admissible », explique-t-il. « Nous savons bien que nos compatriotes sont très choqués par l'organisation de prières dans la rue, et ce n'est pas non plus une situation qui est facile à vivre pour les musulmans ».
Mea culpa sur la « croisade » de la France en Libye
A en croire Claude Guéant, il serait donc interdit de prendre le bus voilé, se rendre à la poste avec une kippa sur la tête ou à une religieuse de voyager en train. Peu après les propos de l'ancien porte-parole de l'Elysée, son entourage s'est empressé de les nuancer, en précisant qu'il pensait « en particulier à l'hôpital ».
Le ministre de l'Intérieur a par ailleurs admis qu'il aurait pu « prendre un autre mot », après avoir parlé lundi de « croisade » au sujet de l'intervention des forces militaires françaises en Libye, sucitant un feu de critiques de l'opposition. « Ce n'était pas du tout dans mon esprit, il ne s'agit évidemment pas d'une croisade, il s'agit d'une action réfléchie, mûrie, concertée sous l'égide des Nations unies », a-t-il précisé ce jeudi.