Ellul considère l'islam comme un danger pour l'Occident, une « menace guerrière permanente contre [celui-ci] ». Dans le même temps, il parle d'une « invasion pacifique de l'Europe » qui – par exemple en France – accueille celui qui va « l'égorger » et « l'anéantir ». En 1988, il estime en outre que d'ici vingt-cinq ans l'Europe sera dans une situation comparable à celle de l'Afrique du Sud au temps de l'apartheid, accusant même les musulmans de fomenter une nouvelle Shoah126. Ces positions radicales reposent, selon certains chercheurs[Qui ?], sur des connaissances parcellaires et approximatives de l'islam, mais d'autres chercheurs partagent ses inquiétudes