Poèmes de femmes pashtoûnes
Poèmes d'amour, Landays (qui signifie bref). Les femmes pachtounes souvent mariées à des vieillards, qu'elles appellent "le petit affreux", bravent la mort en ayant de jeunes amants à qui elles adressent ces poèmes
"Embrasse-moi sur la bouche,
Mais laisse ma langue libre pour te parler d'amour"
"Mon amour, viens vite le contenter,
L'alezan de moncœur a rompu toutes brides"
"Viens, mon amour, que je t'enlace,
Je suis le lierre fragile que l'automne bientôt emportera"
"Si tu ne savais pas aimer,
Pourquoi as-tu éveillé moncœur endormi"
"Déjà minuit, tu n'es toujours pas là.
Mes couvertures sont en feu et me brûlent tout entière"
Mais aussi, poèmes contre ce mari trop vieux :
"Le petit affreux ne fait rien : ni l'amour, ni la guerre.
Le soir, sitôt le ventre plein, il monte dans le lit et ronfle jusqu'à l'aube."
" Le petit affreux ne veut pas mourir de sa propre fièvre.
J'ai décidé, demain, de l'enterrer vivant
mdr mdr....elles sont chaudes les afghanes. aichou tu devrais l'apprendre par coeur pour ton futur afqhan
en tout cas si ma femme fait un poème comme celui ci, je la tue
amicalement ippo kunI