L
e Wall Street Journal fulmine comme l’ensemble de la presse judéo-libérale occidentale: l’Inde va réaliser un film sur Hitler, pire un film qui n’a aucunement l’intention de diaboliser le Chef du Reich Allemand, bien au contraire.
Arguant du fait qu’Adolf Hitler voyait d’un bon oeil la lutte de libération nationale indienne, allant jusqu’à former une division de Waffen SS indiens sous la houlette du nationaliste indien Chandra Bose, le réalisateur indien Rajeev Kumar entend mettre en scène l’impossible amour du chef d’état allemand avec sa compagne, Eva Brown.
Le réalisateur aborde le sujet d’un point de vue pleinement aryen: “C’est un film sur un amour non réalisé, un film qui vise à comprendre la personnalité énigmatique d’Adolf Hitler, ses peurs, son charisme et son éclatant génie “.
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Dans le rôle d’Éva Brown, une ancienne Miss India, Neha Dhupia, qui affirme sans sourciller à la télévision: “Je suis une grande admiratrice d’Adolf Hitler“. Interrogé par des journalistes juifs, elle rétorque: “Je suis aussi une grande admiratrice d’Eva Braun dont je comprends bien mieux la vie après avoir beaucoup lu à son sujet“.
Les indiens, dans la lignée des auteurs médiévaux européens, voient dans le destin tragique d’Adolf Hitler et d’Éva Braun une histoire d’amour impossible à l’image de celle de Tristan et Iseult.
Bien que harcelé par la presse juive internationale, le réalisateur ne cède rien et affirme qu’il sera terminé pour la fin de l’année bénficiant de l’appui de ses producteurs, qui contrairement à Hollywood, ne sont pas juifs.
L’opinion publique indienne s’insurge contre ce qu’elle juge une tentative de censure: “Un réalisateur ou un écrivain est libre d’utiliser son imagination pour mettre en scène des faits historiques. C’est une chose largement admise depuis Kasidala jusqu’à Shakespeare” tonne le Dr Raja M Mathew.
Les indiens ignorent tout simplement la terreur idéologique que fait régner la mafia juive sur le monde de la création occidentale ou seuls des navets communautaires mensongers comme “La liste de Schindler” du juif sioniste Spielberg ont voix au chapitre.
Plus que jamais l’Inde demeure le refuge spirituel de l’aryanité.
Dans le même ordre, la Turquie a produit il y a quelques années un film ou le héros menait des actions musclées contre les intérêts sionistes. Plus généralement, le cinéma non occidental, donc libéré des juifs, émerge et donne de nouvelles représentations qui sont autant d’alternatives médiatiques à la production de nos oppresseurs.