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boldak
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boldak


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MessageSujet: Sans commentaire   Sans commentaire Icon_minitimeMer 2 Fév - 21:33

Un peuple sans moral vivant comme des porcs et qui veut importer la démocratie aux autres.
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Des détenus de Guantanamo tourmentés par des interrogatrices «sexy», selon un document secret --par Paisley Dodds--
[28/01/2005 19:33]

SAN JUAN, Porto-Rico (AP) -- Des geôliers femmes ont tenté de faire craquer des détenus de la base américaine de Guantanamo, en pratiquant des attouchements, en portant minijupes et strings, et en allant jusqu'à barbouiller le visage d'un prisonnier saoudien de faux sang menstruel, selon un document secret obtenu par l'agence Associated Press (AP).

Le récit confidentiel détaille des techniques d'interrogatoires peu orthodoxes au camp militaire de Guantanamo Bay, à Cuba, où sont détenus au secret des membres présumés d'Al-Qaïda et des talibans capturés en Afghanistan par l'armée américaine. Le document manuscrit a été écrit par un ancien militaire américain, qui souhaite le publier sous forme de livre. Il a été classé secret défense en attendant l'examen de son contenu par le Pentagone.

L'auteur, l'ancien sergent Erik Saar, 29 ans, a travaillé comme interprète en arabe à Guantanamo de décembre 2002 à juin 2003, période durant laquelle il aurait assisté à une vingtaine d'interrogatoires et observé des pratiques «troublantes».

Une employée civile sous contrat avec l'armée américaine utilisait ainsi une tenue affriolante avec minijupe, string et soutien-gorge lors d'interrogatoires nocturnes. Or, la plupart des prisonniers de Guantanamo sont des musulmans pratiquants qui excluent tout contact avec des femmes autres que leur épouse.

«J'ai appris que cette tenue était utilisée par une des employées civiles (...) d'une équipe interrogeant au milieu de la nuit des Saoudiens qui refusaient de parler.» Certains détenus de Guantanamo qui ont été depuis libérés ont raconté avoir été tourmentés par des «prostituées».

Dans un autre cas, Erik Saar raconte comment une enquêtrice militaire a tenté de faire craquer un Saoudien ayant pris des cours pour apprendre à piloter un avion avant les attentats du 11 septembre 2001. Devant son refus de parler, elle a enlevé le haut de son uniforme dévoilant un maillot moulant, s'est caressée les seins, les a frottés contre son dos, et a fait des commentaires sur son apparente érection. Le prisonnier lui a craché au visage, selon le manuscrit.

«L'interrogatrice» a alors décidé d'utiliser une autre technique. Un interprète lui a conseillé de faire croire au détenu qu'elle avait ses règles. Une interprétation stricte de la loi islamique interdit tout contact physique avec les femmes en période de menstruation, qui sont considérées comme «impures». «L'idée était de faire en sorte que le détenu sente après avoir parlé avec elle qu'il était souillé et ne pouvait ainsi prier son Dieu et trouver des forces (morales)», souligne le document.

La militaire a utilisé de l'encre rouge pour duper le détenu et lui en a barbouillé sur le visage. «Il a hurlé, craché sur elle et a bondi en avant», si violemment qu'il a brisé un des fers qu'il avait aux chevilles, souligne le document. «Il a commencé à pleurer comme un bébé.» L'enquêtrice est partie en lui souhaitant une «bonne nuit sans eau» pour se laver.

Le récit d'Erik Saar fait écho à deux incidents rendus publics par l'armée américaine mais n'ayant pu être confirmés de source indépendante. Dans un cas, selon le Pentagone, une interrogatrice a enlevé le haut de son uniforme, se retrouvant en T-shirt, a passé ses doigts dans les cheveux d'un détenu et s'est assise sur ses genoux. La séance aurait été immédiatement interrompue par un supérieur et elle aurait eu un blâme.

Dans l'autre cas, une interrogatrice a «essuyé» de l'encre rouge «sur le maillot d'un détenu après qu'il eut craché sur elle» en lui disant que c'était du sang, selon l'armée américaine.

Les stratégies sexuelles utilisées par les interrogatrices sont critiquées par le FBI, qui évoque dans une lettre dont l'agence AP a obtenu copie des techniques «très agressives» et un cas où une enquêtrice a saisi les parties génitales d'un détenu. Des femmes avaient déjà été mises en cause dans le scandale des sévices infligés à des détenus irakiens à la prison d'Abou Ghraïb à Bagdad.

Le camp de Guantanamo Bay est dans le collimateur des défenseurs des droits de l'homme. D'anciens prisonniers de la base américaine affirment y avoir été torturés. AP
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