slm,
J en ai enttendu parler c etait a Ghazni. Des carnages a ete comis plutot par les US mais les Afghans font comme les Europeens de base on met tout le monde dans le meme sac c est de la meme couleur c est de la meme espece ...Alors sans film on pourait tres bien rendre les "talibans" indirectement responsable puisque qu ils se cachent dans les maisons d habitation mais bon je ne suis pas un expert Moi qui defendais meme la presence etrangere mais depuis ma derniere visite rien qu a Kaboul ...ils passent sur les routes surtout les US sans respecter personne une fois je me suis tromper de route sur la route de l aeroport j ai voulu faire demi tour me voila le convoi des US je n etais pas specialement haineux je me disais ces gens sont le fils d une mere, le mari d une femme, le pere de quelqu un et puis de toute facon ils executent les ordres d un general ...je me etais attarde a faire mon demi tour c est la que ces boys de la jeux video chargent la sulfateuse pour me tirer dessus Apparament les US specialement les US ils n hesitent pas a monter sur les voitures ou a tirer sur les voitures civiles aucun respect de la population locale et ils veulent gagner cette guerre Depuis ce jour dans l immediat si j avais la possibilte de les liquider je l aurais fait sans hesiter c est le fibre Afghan qui revient non mais ils voulaient me tuer sur mon propre sol
Les Turcs roulent tranquilement s arretent pour s acheter des cigarettes, des fruits saluent tout le monde voici un article :
La Turquie : une approche plutôt réussie de l’Afghanistan
La Turquie a su doser son engagement dans la lutte anti-terroriste en Afghanistan, ce qu’il lui vaut d’être acceptée par les Afghans.
Plusieurs facteurs sont à l’origine de ce succès. D’une part, la Turquie ne s’est pas réellement engagée dans le conflit entre 1992 et 2001, les populations afghanes n’en ont pas de mauvais souvenirs. D’autre part, contrairement aux autres troupes étrangères présentes en Afghanistan, les Turcs sont de culture musulmane, ce qui facilite les échanges entre Turc et Afghans.
Ce sont de petites choses qui contribuent a leur popularité : « contrairement aux soldats mécréants qui emploi hello, les turcs nous disent salam pour nous saluer » dit un soldat afghan.
Les turcs ont reçu une aide financière de la part des Afghans dans les années 20 alors qu’ils en avaient besoin. Aujourd’hui c’est la Turquie laïque en collaboration avec les Américains qui vient en aide Aux afghans ; notamment avec la construction d’un hôtel cinq étoiles à Kaboul dont les trois quarts des investissements sont turques. Les Turcs financent aussi cinq lycées dans le pays et un sixième est en construction à Hérât.
« Nous sommes un pays occidental, mais un pays occidental capable de comprendre la culture locale » affirme Mehmet Seker, un diplomate turc.
En Afghanistan, la séparation entre état et religion n’est pas prête d’être consommée, et ceci la Turquie l’a très bien compris. Les enseignants turcs en Afghanistan sont des partisans de Saïd Nurci qui s’était opposé aux réformes de Mustapha Kemal dans les années 20. Néanmoins, les Nurcus prônent une synthèse entre une forme de modernité et les valeurs islamiques.
Resit Kocman, directeur du lycée afghano-turc Ariana de Kaboul affirme qu’ils enseignent « l’humanisme et la fraternité plutôt que la religion ».
Bien qu’éloignés géographiquement, les Afghans et les Turcs partagent 2000 mots de vocabulaire et la passion du poète et penseur musulman du XIIIème siècle Mawlana Roumi (né en Afghanistan et mort en Turquie).
Les relations entres les deux pays ont été suspendues depuis l’invasion soviétique en 1979. La Turquie ne s’est pas autant impliquée que d’autres états pour soutenir les moudjahiddins. Par la suite, la Turquie a soutenu le général Abdoul Rashid Dostom d’origine ouzbèk, considéré comme un laïc et le meilleur représentant des intérêts turcs en Afghanistan. D’ailleurs la Turquie est le seul pays non frontalier à posséder un consulat à Mazâr-e-Sharif.
Les Afghans généralement méfiant envers les étrangers, le sont moins envers les turcs. Selon Robert Finn ambassadeur américain en Afghanistan, les Afghans peuvent apprendre beaucoup des Turcs, notamment « à utiliser l’armée dans le but de créer une nation ».
Déjà dans les années 20 l’Afghanistan et la Turquie avaient de très bonnes relations, les diplomates et l’armée étaient formés par le régime kémaliste.A la tête de L’ISAF depuis juillet 2002, les troupes turques seront remplacées par les troupes germano-hollandaises mi février 2003.